Elles consistent à :
Jour férié depuis 1981, le 8 mai reste une date symbolique dont le message à transmettre est la lutte pour la liberté et la démocratie.
Au cours de cette journée, l’ensemble des évènements de la Seconde Guerre mondiale est commémoré, c’est-à-dire aussi bien la victoire des Alliés que la fin de l’oppression nazie sur l’Europe.
Jour férié depuis 1922, le 11 novembre rappelle la date de la signature de l’armistice qui mit fin à la Première guerre mondiale en 1918 afin de commémorer la victoire et la paix. Il est ainsi rendu hommage aux soldats morts pour la France pendant ce conflit, et, depuis 2012, commémore tous les morts la France dans tous les conflits où la France a été engagée.
Jour anniversaire du cessez-le-feu en Algérie, cette journée nationale du souvenir, ni fériée, ni chômée, a été instituée en 2012 à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.
Pour ces trois journées nationales, un hommage est rendu par la commune. Un cortège, constitué de porte-drapeaux, de porteurs de gerbes, d’enfants des écoles, de membres d’associations patriotiques et d’anciens combattants, d’autorités civiles et militaires, de citoyens, est formé devant la mairie. Des gerbes sont ensuite déposées au monument aux morts situé au pied de l’église, au cimetière pour un hommage à des résistants inconnus, à la stèle du square du 19 mars 1962 et pour finir à la stèle de Jean-Corentin Carré, Faouétais, qui fut le plus jeune Poilu de France.
L’horaire de départ du défilé est affiché à la mairie et diffusé dans la presse.
Cette cérémonie, organisée conjointement avec la municipalité du Faouët et le Souvenir Français, se tient sur le site de Trosalaün, route de Pont-Priant à Le Faouët. Elle rend hommage à Louis POUL, René POULIZAC et Jean-Marie LINCY. trois jeunes résistants, originaires de Plouray, qui furent les dernières victimes de la barbarie nazie au Faouët.
La cour martiale allemande, en juin 1944, siégeait dans l’actuel collège Sainte-Barbe – La Salle , qui était alors un lieu d’internement et un centre de torture. 77 personnes y ont été fusillées.